Publié par : manoze83 | 20 mars 2011

Gape Agodokpe

 

Petit visite au village de Gape Agodokpe où l’ONG PASYD pour qui je travaille a contribué à la réalisation d’une école primaire et d’un centre de petit enfance.

 

 

 

Le village semble désertique, rien d’étonnant il fait bien trop chaud à l’heure du zénith pour rester dehors !

 

 

 

Villageois en train de préparer la farine

 

 

 

 

 

Enfants du village à côté de la machine à préparer le Sodabi (vin de palme distillé)

 

 

 

 

Sur le chemin du retour, petit halte pour se désaltérer d’un petit jus de noix de coco

 

Publié par : manoze83 | 16 mars 2011

Gape-Aloyi

J’ai eu l’occasion d’être invitée à l’inauguration d’une école à Gapé Aloyi, un village situé loin des routes principales, accessible par des pistes traversant de grandes étendues de brousse.  Le projet de cette école a été rendu possible grâce au travail de l’association française Etoile d’Aloyi. Au programme lors de cette journée d’inauguration : un accueil chaleureux rythmée de danses, de chants, de discours (inévitables). Tous les villages avoisinant Gapé Aloyi étaient également au rendez-vous.

Publié par : manoze83 | 14 mars 2011

Kouma Kounda



 

Le village de Kouma Konda se situe dans les hauteurs dans la région des plateaux, à quelques kilomètres de Kpalimé. Des ballades de découvertes de la nature sont régulièrement organisées là bas (cf mon article sur le cours de botanique).Certaines portes et murs des maisons du village ont été décorés et peints par les villageois pour davantage mettre en valeur leur site et attirer ainsi les touristes.

 

 

Dans ce village se trouve l’atelier de Prosper Papillon, une figure dans la région car grand connaisseur de la faune et de la flore et disposant d’une collection d’insectes enviée par les plus grands collectionneurs. Depuis quelques années il a mis au point une nouvelle technique de peinture uniquement à partir de pigments végétaux.

 

 

 

 

 

 

La région regorge également de cascades, ci-dessus la cascade  de Wome.

Publié par : manoze83 | 9 mars 2011

La maison des esclaves

A environ 30 Km de Lomé, en direction du Bénin, se trouve la petite ville de Agbodrafo. Elle fait partie des villes d’où partaient les esclaves vers les colonies. Peu de témoignages ont survécu à cette sombre époque. La plupart des bâtiments construits pour la traite des esclaves ainsi que les documents ont tous été détruit. De nombreuses recherches ont été  initiées par les descendants d’esclaves pour retrouver leurs ancêtres.

Parmi eux, une trentaine de la Nouvelle Orléans se sont regroupé pour retracer un voyage qui, de l’Amérique au Brésil, puis du Brésil à Dakar, les ont conduit  à Agbodrafo, au Togo. Ce n’est que très récemment , en 1999, que la lumière a été mise sur le passé d’une maison de cette ville, qui a caché durant plusieurs années des esclaves capturés dans les différents royaumes du Togo par les négriers  écossais et portuguais.La maison porte d’ailleurs le nom de l’un d’eux, « Woold Home ».

La maison servit de traite des esclaves bien au-delà de 1807, date de l’abolition de l’esclavage. Ce ne fut qu’à partir de 1852, lorsque l’esclavage pris officiellement fin par la proclamation de la couronne d’Angleterre, que la maison cessa toute activité pour être remise à la famille princière dont certains membres vinrent s’y installer pour vivre.

La maison bénéficie aujourd’hui du soutient de l’UNESCO pour sa rénovation et est inscrit sur la liste des sites soumis par le Togo au Patrimoine Mondial.

L’entrée des esclaves dans la maison se faisait par ces trous de pas plus de 1m50 de hauteur, qui les conduisent directement au sous-sol de la maison

 

Au premier étage, les négriers négocient les prix autour de la table.

Juste en-dessous d’eux, sous cette trappe, ce sont plus d’une centaines d’esclaves qui attentent de connaître leur sors.

 

Une centaines d’esclaves sont cachés toutes les 2 semaines dans ce sous-sol avant d’être embarqués. Environ 15% d’entre eux ne survivront pas avant même l’embarquement, tellement l’endroit est petit et étouffant. Au cours du voyage qu’ils entreprendront jusqu’à la nouvelle Orléans, ce seront encore 40 % d’entre eux qui ne survivront pas aux conditions de transport. Seul la moitié des esclaves capturés arriveront donc au final en Amérique.

Publié par : manoze83 | 24 février 2011

Marché de Kpalimé

Kpalimé est une ville située non loin de la frontière du Ghana, et une des plus touristiques du Togo. Kpalimé (« carrefour » en ewé) est entourée de montagnes et offre un cadre naturel très agréable. Petite tour sur le  marché de la ville le samedi, jour le plus animé.

Noix de Cola                                         Fumier à base de noix de palme

Petits poissons appelés aussi « akpavi »

Gombo et piment verts (doux)                        Piments séchés (plus forts)

Mil, haricots,…                                                  Igname

Publié par : manoze83 | 22 février 2011

Cours de botanique

Kouma Konda dispose près de son village d’une grande richesse de fleurs, plantes, et arbres, et des parcours sont organisés pour les touristes qui comme moi découvre pour la première fois des choses dont on a tous entendu parlé ou mangé, mais pas forcément déjà vu sous leur vraie nature !

Merci à ceux qui se sont prêté à l’exercice de chercher ce que ces images pouvaient bien représenter, et bravo à ceux qui ont réussi à obtenir quelques bonne réponses (Armelle,Marie, Maman, Elise, Tristan) ! Bon personne n’a eu 100% de bonnes réponses mais j’ai décrété que le fait même d’avoir participé mérite récompense, ça sera donc tournée générale de souvenirs pour les participants !  ^^

Sans plus attendre, les légendes !

Papayer

Fleurs qui donneront les noix de muscade

Fleurs de café

Graines de café en train de murir

Manioc

Jeune pousse d’ananas

Noix de cola

Amaryllis

Publié par : manoze83 | 18 février 2011

La chanson coup de coeur

Daouda Koné est chanteur-compositeur né d’une famille Burkinabé. Il a commencé par des contrats de spots publicitaires avec un studio qui par la suite, enregistra son 1er disque.
Je vous laisse apprécier la douceur des paroles et de la musique de « Bouquet de fleur ». Il s’agit d’une vieille chanson, mais elle continue de passer dans les rue de Lomé

Publié par : manoze83 | 15 février 2011

Port de Lomé

Le port autonome de Lomé est un élément essentiel dans le développement économique du pays. Son activité portuaire constitue en effet l’une des plus importantes de la région subcontinentale. 90% des échanges commerciaux du pays avec l’extérieur s’effectue par ce port. Dans le prolongement de ce port de fret se trouve le port de pêche. Tôt le matin, les pêcheurs arrivent en pirogue et vendent directement aux mamans les poissons qu’elles revendent ensuite directement sur le marché. C’est pour cette raison d’ailleurs que le droit d’entrée au marché est seulement payante pour les femmes (100 CFA), les hommes peuvent quant à eux circuler librement.Ici on ne rigole  pas avec la négociation, elle est un plus musclée que pou les autres marchandises.

Publié par : manoze83 | 13 février 2011

Dans les rues de Lomé

Atelier de menuiserie

Le business des fauteuils et canapés en cuir semble bien marcher, il n’est pas rare d’en apercevoir sur les trottoirs de la ville

Publié par : manoze83 | 12 février 2011

Village artisanal de Lomé

Le village artisanal de Lomé regroupe une dizaine d’ateliers de sculpture, menuiserie, maroquinerie, tissus,etc…Bien que le lieu représente l’endroit idéal pour les emplettes des touristes, l’atmosphère y reste calme et les vendeurs vous laissent tranquillement regarder sans  incessamment vous interpeller comme cela peut se passer sur d’autres marchés artisanaux de la ville.

 

Statue d’un artisan transportant une noix de palme

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